Le silence ...
Dans la forêt profonde, que berce le Mistral
Règne le grand silence, le silence sidéral.
Dans les champs, les vallons, dans les cieux infinis
Sur les lacs, les étangs, le silence les unis.
Plus sinistre et hurlant que le cri de la hyène
Puissant et douloureux aboiement de la chienne
Silence fracassant, silence obsédant
Qui fait trembler le corps et se briser les dents.
Plus un mot, plus un son, pas l’ombre d’un écrit,
Ce terrible silence qui étouffe mes cris
Met mon cœur au supplice, mon âme à la torture
Et le froid du silence, ajoute à la froidure.
J’ai cru comme un idiot, qui est un imbécile
Que je pouvais plier ce cœur qui n’est docile
Qu’à l’eau de son regard, au profil de son nez
Et faire que son amour, soit un amour mort-né.
Oublier, oublier par qui je suis heureux
Ne plus rien lui conter, cacher mes mots peureux
Je n’en suis pas capable elle m’est bien trop chère
Ne pas dire mon amour, c’est m’arracher ma chaire.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble