Voilà une œuvre unique, comme une poésie sertie dans l’animation, illustrée à merveille par un style pur et limpide à la limite du minimalisme, où la frontière entre l’ordinateur et la main s’avère tout simplement invisible. Un voyage sans but ni mobile dans un pays des merveilles troublant de sérénité, habité par une douce musique aussi discrète qu’envoutante.
Une pure fantasy, dans tous les sens du terme…
Glassy Ocean (Kujira no Chōyaku), Shigeru Tamura, 1998
Indisponible hors du Japon
22 minutes
Cette chronique fut à l’origine publiée sur le site Animeka