Les sorciers sont en colère.
De toute part, viennent des bras,
des mains avides de reconstruire, d’élaguer, d’élargir,
de créer, de rire ou de pleurer, de vivre.
Les hommes et femmes en pleine blessure
les noyant, dénoyautant,
véritable volcan de chair.
La terre martelée, frappée à grands coups
de pied fissure, craque, s’ouvre.