Le grand avantage d’un jeu sur un réseau social est qu’on possède plusieurs systèmes de monétisation. On peut acheter des crédits pour améliorer son personnage ou acheter des objets et l’interaction sociale favorise l’achat puisqu’on fait beaucoup plus confiance à ses amis. Par ailleurs, c’est beaucoup moins cher de créer un jeu de réseau social plutôt qu’une variante pour PC. Ea Games n’a investit que 10 millions de dollars dans sa division spécialisée alors qu’un jeu classique couterait deux fois plus.
Le domaine du jeu vidéo est en train de changer, car en plus des réseaux sociaux, il y a le jeu vidéo à la demande qui se pointe à l’horizon (Game on Demand). Le principe est qu’on n’a pas besoin d’installer un jeu sur sa machine, mais tout se fait directement en ligne. Ainsi, même les machines qui ne sont pas puissantes pourront y jouer et on devra payer un abonnement mensuel ou annuel. Pour les Sims Socials, déjà qu’on ne veut pas voir ses amis Facebook en peinture, il faudra maintenant entretenir des relations de bon voisinage… Je sens qu’on va bien rigoler.