J’avais prévu de vous faire donner mes impressions sur Devil May Cry 4 plus tôt mais je me suis dit qu’il serait plus honnête de le faire une fois que j’aurais bien avancé dans le jeu. Maintenant que j’en suis à peu près à la moitié je pense qu’il est temps de le faire
Après 22 minutes d’installation, un résumé des précédents épisodes et 5 gigas de bouffé, nous voici enfin plongé dans le monde de Dante et Néro, les deux héros de Devil May Cry 4. D’entrée on se prend une claque graphique avec des cinématiques entièrement en 3d pré-calculées qui tentent de nous plonger dans un scénario un peu bidon. Le reste du jeu est vraiment magnifique avec de nombreux effets de lumières, pleins de textures différentes et un grand soucis du détail (mais malheureusement encore en 720p ! Grrrr…). Seul la variété des monstres est un peu réduite mais avec ce genre de jeu on a l’habitude de croiser plusieurs fois les clones des mêmes bestioles.
Vient ensuite la prise en main de Néro (Dante plus tard), il répond au doigt et à l’œil, malgré quelques animations un peu étranges (les sauts en particuliers). On ne se lasse pas de combattre les ennemis d’autant que Capcom a opté pour un système de combat très intéressant. En effet il est possible d’utiliser une multitude d’attaques différentes : flingue, épée, bras diabolique et autres pouvoirs qu’il faudra adapter en fonction des ennemis et boss. Il est également possible de booster son personnage au fur et à mesure du jeu en achetant de nouvelles capacités.
La durée de vie de Devil May Cry 4 est très conséquente avec 20 chapitres, plein de passages secrets, de bonus et de missions à débloquer. Attention à être bien attentifs aux cinématiques ca vous évitera comme moi de refaire plusieurs fois le niveau ou de tourner en rond car vous vous êtes paumé…
Malgré quelques problème de scénario Capcom frappe très fort avec l’arrivée d’une de ses meilleure série sur la console Next Gen de Sony. Un jeu que j’attendais et je n’ai vraiment pas été déçu, maintenant il nous reste plus qu’à espérer qu’ils accorderont autant d’attention à Resident Evil 5.