E.coli, le virus tueur...

Publié le 09 juin 2011 par Philippejandrok


L’Allemagne est très mal barrée… mais elle cherche des excuses, pour ne pas dédommager l’Espagne…
Comme chacun sait, le virus E.Coli n’était pas dans les concombres, ni dans les crudités, ni peut-être pas non plus dans les graines germées, comme chacun sait, personne ne sait rien sur l’origine de la bactérie tueuse qui a dores et déjà fait 25 victimes en Allemagne, mais une nouvelle piste s’offre aux chercheurs, on vient de découvrir sur les restes d’un concombre qui macérait dans une poubelle de la ville de Magdebourg en Allemagne, des restes qui dataient de deux semaines, la fameuse bactérie E. coli, selon le Bild, mais on ne sait toujours pas si le concombre est à l’origine de la bactérie, perdue entre les carottes, tomates, papiers gras, frites, viandes diverses, la bactérie s’en donnait à cœur joie, mais qui peut dire comment elle est arrivée dans cette poubelle ? Personne, nul n’en sait rien.
Enfin, le concombre est toujours visé et les maraichers Espagnols sont mis en échec par cette découverte « notoire » et embarrassante pour eux… La bactérie était donc toujours présente sur un concombre ?
Dans le cas présent, le concombre suspect a été consommé à moitié, puis jeté par la famille qui en avait fait l’acquisition. Les parents ont été souffrants mais leur petite fille serait toujours en soins intensifs à l’hôpital de la ville.   Or, il faut 3 jours d’incubation avant de voire apparaître les premiers symptômes, on ne peut donc pas savoir après avoir mangé la moitié d’un concombre qu’il est porteur du virus ou pas, c’est impossible.
Quand au concombre « coupable », il est à présent entre les mains des scientifiques qui tentent de comprendre pourquoi et comment cette bactérie, après un séjour de 15 jours dans une poubelle, était toujours accrochée à lui, c’est le mystère du concombre masqué vous ne trouvez pas ?
En dehors de l’aspect tragique de la situation, cette information me semble être parmi les plus ridicules écrites sur le sujet et comment se fait il que nous retrouvions ce concombre 15 jours plus tard dans une poubelle, alors que les poubelles sont en règle générale, vidées deux fois par semaine et que dans les poubelles, il n’y a pas que des concombres, on est ici dans le cadre de putréfaction et non pas de présence de bactérie sur un concombre saint, E.coli aurait très bien pu se trouver ailleurs, sur d’autres légumes, ou partie du régime alimentaire de cette famille, mais comment savoir ?
Serait-ce un moyen pour l’Allemagne d’éviter de rembourser les pertes espagnoles, rien n’est moins sur.
Cette bactérie meurtrière demeure un véritable mystère, tout comme l’était le virus tueur Ebola en Angola, on pensait que la bactérie était passée d’un singe vert mort et consommé par un indigène qui aurait été contaminé tout en contaminant les siens, mais rien ne prouvait cette réalité supposée et le virus a littéralement contaminé des populations entières.
- « Les forêts vierges, d'où il provient, sont les réservoirs profonds de la vie sur la planète, elles renferment la plupart des espèces végétales et animales du monde. Elles sont également les plus vastes réservoirs de virus d'où ils émergent régulièrement… »
- « Nous devons garder en mémoire que les virus comme Ebola existent depuis des millions d'années, bien avant l'apparition de l'homme. Ils ne peuvent pas vivre à l'air libre et ne sortent que rarement de leur niche écologique. La rencontre d'Ebola avec d'autres espèces, comme l'homme, est un accident qui n'entraîne pas, à terme, la pérennité du virus dans cette nouvelle espèce. Les risques sont faibles pour la population humaine sauf là où coexistent une possibilité de contamination primaire, de mauvaises conditions d'hygiène et des structures sociales perturbées. »
WWW.virus-ebola.com
E-coli est un cousin du virus Ebola et personne ne sait comment lutter contre celui-ci, une chose est certaine, si un homme est réduit à manger un cadavre de singe, comme c’était le cas en Angola, c’est qu’il manque de tout et que son corps est faible dès le départ, sans défenses immunitaires, on ne peut lutter contre un virus qui se répand à vitesse exponentielle dans un corps faible.
Comme pour le traitement de certains cancers, il faut permettre au corps d’obtenir toutes les vitamines et minéraux nécessaires pour se battre contre l’infection (le cancer n’est pas une infection, je le précise), c’est un premier point, le second point concerne les intestins, qui sont le centre névralgique de notre corps, s’ils sont saints, les bactéries extérieures ont du mal à s’y installer car nombre de nos petits soldats se battent durs comme fer pour les réduire à néant si nous sommes en bonne santé, ce n’est pas une vérité absolue, mais c’est une vérité essentielle.
Si en Angola les populations manquaient de tout, en Europe, elles ont ce tout en excédent, et on en arrive quasiment au même point, pas assez tue, et trop tue, si nous parvenons à trouver un équilibre entre les deux on peut avoir la chance de pouvoir résister à ce type d’attaque virale, tout cela reste bien sûr une analyse empirique, mais elle a le mérite d’être envisagée, si E.coli est un cousin d’Ebola, pourquoi son hôte serait-il un légume, a-t-on envisagé qu’il pourrait s’agir d’une contamination humaine ?
Même soigné, on retrouve 8 semaines après la guérison d’un patient infecté par Ebola, des traces du virus dans le sperme du patient, des traces qui peuvent contaminer sa ou son partenaire. Imaginons que ce soit le cas pour E.coli, il faudrait retourner 8 semaines en arrière et tenter de retrouver la source, soit une véritable enquête policière du côté du port de Hambourg.
À présent, si nous ne pouvons plus manger de légumes contaminés par le virus E.coli, de viandes et de poissons bourrés d’antibiotiques, de pesticides et de radioactivité, que nous reste-t-il ?
Nous vivons une époque formidable…