Pompom gland

Je n'aime pas trop le terme, mais je n'en ai pas trouvé d'autres...

On enroule de la laine autour de sa main ou autour de la main de l'enfant pour le faire participer

(sans trop serrer bien sûr !)

Quand on a fait un nombre de tours suffisants (combien ? pfff, alors, là, c'est comme quand je fais le crumble, au pif... disons une bonne dizaine de tours...), on coupe.

Bon, c'est là que les choses se corsent pour expliquer, mais c'est là que c'est mieux que ce soit sur la main de l'enfant, car...
pour cette photo, vous imaginez, c'est ma main droite que l'on voit et la gauche doit passer un brin de laine sous les tours de laine au niveau de l'index droit, un brin suffisamment long pour pouvoir après attacher son pompom où l'on souhaite
et donc, pour en revenir à ma main gauche, elle fait deux noeuds et accessoirement prend une photo
(je n'ai pas réussi à utiliser ma bouche ou mes orteils pour cette opération !)

Puis on sort l'écheveau de laine de la main et on demande à l'enfant de pincer au niveau du premier tiers de l'écheveau. On prépare un petit bout de laine...

...avec lequel on vient faire un noeud là où l'enfant pince (sans lui attacher les doigts, voyons !).
En fait, on fait deux noeuds, bien sûr, il ne faut pas que cela se défasse tout seul !

Puis coup de ciseaux dans le bas du pompom pour séparer les brins,
on retaille les brins qui dépassent, comme chez le coiffeur

Et voilà !

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