- Miser sur des quartiers en devenir, c’est-à-dire ceux qui sont encore abordables, mais qui devraient se valoriser dans les années à venir pour de multiples raisons (réaménagement urbain, extension de ligne de métro, implantation du tramway, construction d’infrastructures municipales, établissements scolaires ou supérieurs réputés, etc.)
- Se tourner vers des biens « sous-évalués ». C’est, par exemple, le cas de logements atypiques, qui ne correspondent pas tout-à-fait à la demande, mais peuvent vous convenir. Et après tout, on peut toujours, à terme, réaliser des travaux pour remettre les lieux au goût du jour…
- Choisir des logements avec travaux à faire. Les acheteurs n’aiment pas ça ! Et pourtant, si l’on faisait des statistiques, on se rendrait compte que pratiquement dans 100% des cas, le coût du logement à rénover + le coût des travaux est inférieur au prix auquel aurait été affiché le logement sans travaux…
- Acheter plusieurs petites surfaces et les transformer en logement familial. Ce type d’opération est particulièrement rentable à Paris où le fait de réunir plusieurs chambres de bonne des derniers étages des immeubles haussmanniens coûte souvent moins cher que d’acquérir un logement familial, très recherché dans la capitale…
- Négocier les prix ! Il est exceptionnel qu’un geste commercial soit refusé par le vendeur
- Réduire les frais annexes au coût du logement : faire jouer la concurrence pour les crédits, mais aussi sur les commissions d’agences. A titre informatif, la commission moyenne des agences en France atteint 6%.