Je demande à nouveau que la Cour pénale internationale soit saisie sans délai par le Conseil de sécurité de
l’ONU.
L’accès humanitaire immédiat et sans entraves dans l’ensemble des villes et villages où des personnes nécessitent une
assistance, y compris les blessés et les personnes en détention, doit être exigé.
Les opposants au régime doivent être libérés au plus vite, les journalistes doivent pouvoir travailler sans contrainte et
tous les médias libérés de la censure.
Conformément à la Charte des Nations Unies et aux principes qu’elle contient, c’est maintenant un message sans ambiguïté et
sans faiblesse que la Communauté internationale doit adresser au régime Syrien. Ne pas le faire serait se résigner à abandonner le peuple syrien à une répression impitoyable.
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Martine Aubry
Première secrétaire