Apparemment, il tape sur Sarkozy. Pas avec violence non, mais plus, j'ai l'impression, avec la tristesse d'un père qui voit que son fils a toujours tenté de le niquer, et qu'il est un petit ingrat... Des choses sont claires, écrites, c'est très bien...
Non, ce qui m'a marqué dans ces extraits, c'est celui là.
"J'aurais sans doute dû tout mettre en oeuvre pour constituer une équipe dirigeante plus représentative des 82% d'électeurs qui m'ont apporté leur suffrage le 4 mai 2002. Je ne l'ai pas fait et ce fut probablement une erreur au regard de l'unité nationale dont j'étais le garant"J'aime les gens qui reconnaissent leurs erreurs. C'était mon sentiment aussi, au soir de cette élection. C'était dommage, car je crois que cette erreur a donné un terrifiant deuxième tour clivant, violent, et assez affligeant, entre Nicolas Sarkozy et Ségolène Royal, qui se valent vraiment tous les deux en ce qui concerne bien des petites choses...
Après, est ce que je lirai ces deuxièmes mémoires de Jacques Chirac ? Je vais vous faire un aveu, je n'ai même pas lu le premier tome...