Tout commence par une blague :
"C'est un alpiniste juif qui escalade une montagne et décroche soudain, se retrouvant suspendu dans le vide par une main. Il appelle : "Au secours, il n'y a pas quelqu'un ?" Il entend une voix élevée qui lui répond : "Oui, je suis là, Moi Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, ne crains rien, lâche le rocher, un ange va venir te chercher". Pas très rassuré, l'alpiniste rappelle au secours, et entend à nouveau cette voix grave qui lui dit : "N'ai pas peur, Simon, c'est Moi, Dieu d'Abraham, d'Isaac et de Jacob, lâche ce rocher, quelqu'un va venir te sauver". L'alpiniste hésite puis dit : "Il n'y aurait pas quelqu'un d'autre ?"
Après, c'est moins drôle.
(Je vais encore légèrement pencher pour la mort de quelqu'un)
Je pense que Dieu n'a aucune notion du temps. Il a pas la même échelle que nous, sincèrement.
6 ans, pour lui, c'est comme une seconde pour nous.
Se passe tellement de choses pour lui, donc c'est normal que 6 ans, pour lui, ce soit comme une seconde pour nous.
Si la prémisse vous agrée (prémisse fait penser à prépuce), on continue (ça gêne pas la lecture de garder le mot "prépuce" dans la tête).
La date : 2 septembre 1998 / 4 janvier 2006.
L'erreur : Il sauve Chevènement et laisse pourrir Sharon.
J'ai besoin de détailler ?
- 5,33% dans la face de Jospin-lapin. Tutti Quantti.
- De l'autre côté, le vieux se rend à la raison : « En tant que quelqu’un qui a combattu dans toutes les guerres d’Israël et appris de ses expériences personnelles que sans la force appropriée, nous n’avons pas une chance de survivre dans cette région qui ne montre aucune pitié envers les faibles, j’ai aussi appris par expérience que l’épée seule ne peut résoudre cette dispute amère pour cette terre.» Discours à la Knesset en 2004 d'Ariel. Puis le truc unilatéral (quelle bêtise, Ariel, quelle bêtise, tu nous latéralises le truc et aujourd'hui la Palestine aurait une équipe de foot)
Ou alors, ça n'aurait servi à rien, vu le bonhomme. Ou peut-être que ce n'était quand même pas rien, vu la situation.
J'aurais pu apprendre, moi aussi, à aimer Ariel Sharon.
Dieu est décevant.