Je pris cela pour une colère celeste. Tout ce scénario me faisait penser à ces catastrophes naturelles où la terre à besoin de respirer un peu et se libère aux travers de volcans, tsunamis ou bien encore de cyclones dévastateurs.
Il ne vient pas à moi ? m'enquis-je auprès de mon guide. Il ne répondit pas, me fit un sourire malicieux et m'invita à le suivre de l'autre côté du chantier. L'homme, cette nouvelles âme accidentée ne nous vit pas et sembla heureux de retrouver ses proches ; ils se congratulèrent, se félicitèrent qu'à chaque fin de mission les retrouvailles furent de plus en plus chaleureuses. Aux travers de ces âmes accueillantes j'eus l'impression d'y lire de l'ironie pure. Cette fameuse ironie que le diable laisse parfois transaparaître chez l'humain ; lorsqu'il a faim de sexe, de violence avec l'irrépressible désir de déviances sociales.