Le chant des sirènes

Non je ne me suis pas faite attrapée "connement"… J'ai réfléchi beaucoup, j'y ai cru et puis non, j'y vais, j'y vais pas, et pourquoi j'irai d'ailleurs, comment vont réagir les autres, allez, je tente ! Et puis non, si on ne voulait pas de moi d'ailleurs… J'ai tout retourné dans tous les sens, j'ai lu ailleurs les expériences des autres, l'émoi que ça a créé ou pas. J'ai reçu les confirmations cette semaine, à partir de ce jour (funeste), les diablotins ont acquis ma mini-âme de bloggeuse et vous trouverez donc sur ce blog des articles sponsorisés.
Pourquoi ? Parce que ça m'intéresse doublement. J'aime le fait d'avoir une espèce de travail à faire, de me creuser un peu la tête, de faire marcher ma caboche de Desperate Housewives, de participer plutôt que de regarder. Et qui dit travail dit rémunération. Je ne compte pas faire fortune, ce serait sot de croire que j'ai ici un trafic à faire vivre une famille complète avec le train de vie de la famille royale. Non je vais mettre un peu de beurre dans les épinards, mais pas trop, j'ai du cholestérol.
Comment ? Vous serez prévenu dans le titre et dans l'article qu'il s'agit d'un article sponsorisé. Libre à vous ensuite de le lire ou pas. Je ne suis pas à fond derrière les déboulonneurs, je suis plutôt une pessimiste qui dit qu'on ne peut pas échapper à la publicité, et je réagis de façon optimiste en me disant que le tout est de savoir quoi en faire, apprendre à réfléchir par soi-même et cela dès le plus jeune âge. Je reste libre de mon côté de choisir les campagnes qui m'intéressent, qui pourraient vous intéresser, qui ont une relation avec ce blog. Je reste libre aussi de mon opinion, je ne suis pas forcée d'écrire que "j'adooore, oh formidaaabllle".
Et libre à vous également de dire si ça vous plait ou pas, si je m'égare ou pas, si je vous perdrais ou pas… en tout cas je vous laisse cogiter ce week-end et je reviens lundi avec un billet long comme le bras.