Le pouvoir de l'imaginaire (94) :le modéle OSCAR ( SUITE 3)

Publié le 06 juin 2011 par 000111aaa

   Le problème de l existence de particules virtuelles a été traité dans le cadre d’un chapitre de « LA PHYSIQUE DES HORIZONS HUMAINS «    et est loin de se réduire à la seule discussion des hypothèses du modèle OSCAR ….Sans remonter aux calendes grecques et tout ré expliquer , le principe d’indétermination de HEISENBERG peut laisser supposer que le vide serait rempli de particules virtuelles apparaissant et disparaissant en permanence. Elles seraient d'autant plus nombreuses que leur existence est courte …. C’est cela que l'on appelle les « fluctuations du vide » et en principe qui nous amène à une curieuse constatation : puisqu'en prenant des durées de plus en plus courtes les énergies des particules seraient de plus en plus élevées., l'énergie du vide, résultant de ces fluctuations, pourrait être a priori infinie…Et je vous ai déjà décrit le hiatus qui résulterait de ceci et marque la divergence sur l énergie du vide entre les physiciens   de l espace-temps plat des particules et les astrophysiciens de l espace-temps courbe ( ceux de la relativité générale !).

« Alors , PAPY , pour qui votes tu ?» me dirait mon petit fils , me croyant arrivé a cette croisée des chemins …..

« -Mais PIERRE meme si mon choix sur ce sujet est déjà fait , je n ai pas à en tenir compte maintenant ….Ce qui est à examiner , ce n est pas la foule des particules EVENTUELLES de la supersymétrie ou   les bosons de la théorie de HIGGS  ou meme ( du moins pour le moment ) les divers types d « axions « proposés (l’axion est une particule hypothétique, supposée stable, neutre et de très faible masse ) , tachyons etc. etc..Ma cible d aujourd’hui ce sont les caractéristiques des   seules particules virtuelles basiques découlant du modèle OSCAR  et leur pertinence …

Il se trouve que mon correspondant interprète les termes «  particules virtuelles » dans un sens, restrictif et personnel et tout autre que l habituel . Je le cite : « Je précise que l'appellation "virtuelle" est liée à la causalité. Cela veut dire, pour moi, que dans le référentiel propre à une seule particule virtuelle la masse est possible, alors que dans le référentiel "boson" contenant les deux "virtuelles", la masse est nulle. La relation causale est telle que le couple virtuel s'annule »…

Il m’ apparaît donc que la figure de mon article précèdent était insuffisante sinon fausse et que le boson sub -quantique serait d une symétrie parfaite et formé de ces deux particules   virtuelles reliées par leur zéro commun …. Il dérive en fait de l opérateur quantique 1 D   de la théorie quantique des champs mais propose un nouveau modèle d'oscillateur non discret mais continu. il est constitué de deux particules vibrant autour de leur point zéro et peut être déterminé par la fonction (1-1),. A chaque jaillissement du point zéro, les paramètres d'origine sont donc variables. Ils varient ensuite en fonction de l'extension spatiale

Je choisis donc aujourd’hui de vous représenter chacune de ces deux particules par une première photo , en représentant d abord l une d’entre elle seulement ( voir photo fin de texte car l opérateur nobs  LES PLACE OU IL VEUT!)

 Nb : j ai oublié de  faire figurer le terme particule B  sur le deuxième segment de droite   et d indiquer  que le temps est représenté continuement sur la figure 1 mais ponctuellement sur la figure 2 / MES LECTEURS  auront surement dejà rectifié d 'eux memes !!!!

, photo suivie d une deuxième photo   les regroupant dans un espace «  didactique » 2 D reliées fictivement dans   cet espace par la position de leur zéro commun ….Mais je ne suis pas encore   sur d avoir exploré la totalité du concept …

A suivre ( les conséquences et la description des becs): j essaie de rendre attractif ce type d article pour les non physiciens  et ce n est pas facile !