À vouloir devenir la grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf, je crois que la grenouille vient de péter.
Pauline Marois voulait tant devenir la première première ministre de la province de Québec, qu’elle a oublié deux mots importants en politique; démocratie et consensus.
Le départ de trois de ses têtes d’affiche, Louise Beaudouin, Lisette Lapointe et Pierre Curzi vient de bousiller ses projets. Sacré Pauline, encore quelqu’un qui souffre de la maladie du pouvoir.
Le pire, c’est que ce brasse-camarade fera l’affaire du fourbe charest.
Le petit Napoléon de la ville de Québec (Labeaume) a quand même pris du galon; il est la cause principale de tout ce cirque. La province de Québec n’a jamais si bien porté son titre de province; on se croirait dans une république de banane. Le tapis rouge (libéral) est déroulé pour encore des années de collusion et de corruption.
P’tit pays!
Lo x