Dans un précédent billet, j’ai commenté Change, grand classique de psychologie.
Selon lui nos malheurs viennent des solutions que nous donnons à nos problèmes. Je crois, pour ma part, que ces solutions sont majoritairement sociales.
Par exemple, c’est la société (les films américains ou notre président) qui nous dit qu’il est bien de vivre comme un parvenu, un mafioso qui a réussi. Or, ce niveau de revenu n’est accessible qu’à moins d’un millième de la population, et qui avait un avantage décisif dès la naissance. Le reste oublie son échec dans la nourriture rapide.
Le vrai changement, à mon avis, est de savoir repérer ce qui est nocif dans le lavage de cerveau ambiant, sans pour autant nous isoler de la société (par exemple en nous définissant comme la perfection).