Magazine Côté Femmes

Coucou, me revoilou....

Publié le 05 juin 2011 par Marigotine

 

   L'Espagne à découvert une façon originale!

   Pour la création d'emplois saisonniers...

   Tenue de camouflage et fusil à projection d'écran solaire!

<b></div>Baignade surveillée.</b> Sous le regard des vacanciers qui se prélassent au soleil brûlant de Malaga, dans le sud de l’Espagne, ces hommes des troupes de marine espagnoles participent à un exercice d’assaut à la veille des fêtes organisées pour la Journée des forces armées. Unité d’élite, l’infanterie de marine fait partie des principales formations engagées dans les missions confiées à l’Espagne par les Nations unies. Mis en joue, les badauds s’amusent derrière les barrières de sécurité, heureux d’assister à un spectacle inédit sur la très fréquentée plage de La Malagueta. Une scène qui rappelle un peu le très médiatique débarquement américain en Somalie face aux caméras du monde entier, en décembre 1992. Baignade surveillée. Sous le regard des vacanciers qui se prélassent au soleil brûlant de Malaga, dans le sud de l’Espagne, ces hommes des troupes de marine espagnoles participent à un exercice d’assaut à la veille des fêtes organisées pour la Journée des forces armées. Unité d’élite, l’infanterie de marine fait partie des principales formations engagées dans les missions confiées à l’Espagne par les Nations unies. Mis en joue, les badauds s’amusent derrière les barrières de sécurité, heureux d’assister à un spectacle inédit sur la très fréquentée plage de La Malagueta. Une scène qui rappelle un peu le très médiatique débarquement américain en Somalie face aux caméras du monde entier, en décembre 1992. " title="Coucou, me revoilou...." />Baignade surveillée. Sous le regard des vacanciers qui se prélassent au soleil brûlant de Malaga, dans le sud de l’Espagne, ces hommes des troupes de marine espagnoles participent à un exercice d’assaut à la veille des fêtes organisées pour la Journée des forces armées. Unité d’élite, l’infanterie de marine fait partie des principales formations engagées dans les missions confiées à l’Espagne par les Nations unies. Mis en joue, les badauds s’amusent derrière les barrières de sécurité, heureux d’assister à un spectacle inédit sur la très fréquentée plage de La Malagueta. Une scène qui rappelle un peu le très médiatique débarquement américain en Somalie face aux caméras du monde entier, en décembre 1992. " border="0" /> Baignade surveillée. Sous le regard des vacanciers qui se prélassent au soleil brûlant de Malaga, dans le sud de l’Espagne, ces hommes des troupes de marine espagnoles participent à un exercice d’assaut à la veille des fêtes organisées pour la Journée des forces armées. Unité d’élite, l’infanterie de marine fait partie des principales formations engagées dans les missions confiées à l’Espagne par les Nations unies. Mis en joue, les badauds s’amusent derrière les barrières de sécurité, heureux d’assister à un spectacle inédit sur la très fréquentée plage de La Malagueta. Une scène qui rappelle un peu le très médiatique débarquement américain en Somalie face aux caméras du monde entier, en décembre 1992. (Jonnazca/REUTERS)      Attention X-FACTOR nous voilà....               "L'affaire Pélican group"

<b></div>Tous en chœur.</b> À l’unisson, ces pélicans semblent chanter de concert sous la direction attentive et passionnée d’un des leurs. Une bien étrange chorale aviaire. Très grégaires, la plupart des espèces de pélicans nichent en colonies. Ils se nourrissent en commun, se reposent en groupes, volent en imposantes formations et... chantent ensemble. Toutefois, la majorité de ces oiseaux sont plutôt silencieux. À l’exception de la période de reproduction, pendant laquelle les adultes émettent des cris bas et discordants. Une parade sonore criarde, très éloignée des trilles harmonieux des merles ou des chardonnerets. Les populations de pélicans sont aujourd’hui en nette diminution dans le monde entier. Tous en chœur. À l’unisson, ces pélicans semblent chanter de concert sous la direction attentive et passionnée d’un des leurs. Une bien étrange chorale aviaire. Très grégaires, la plupart des espèces de pélicans nichent en colonies. Ils se nourrissent en commun, se reposent en groupes, volent en imposantes formations et... chantent ensemble. Toutefois, la majorité de ces oiseaux sont plutôt silencieux. À l’exception de la période de reproduction, pendant laquelle les adultes émettent des cris bas et discordants. Une parade sonore criarde, très éloignée des trilles harmonieux des merles ou des chardonnerets. Les populations de pélicans sont aujourd’hui en nette diminution dans le monde entier. " title="Coucou, me revoilou...." />Tous en chœur. À l’unisson, ces pélicans semblent chanter de concert sous la direction attentive et passionnée d’un des leurs. Une bien étrange chorale aviaire. Très grégaires, la plupart des espèces de pélicans nichent en colonies. Ils se nourrissent en commun, se reposent en groupes, volent en imposantes formations et... chantent ensemble. Toutefois, la majorité de ces oiseaux sont plutôt silencieux. À l’exception de la période de reproduction, pendant laquelle les adultes émettent des cris bas et discordants. Une parade sonore criarde, très éloignée des trilles harmonieux des merles ou des chardonnerets. Les populations de pélicans sont aujourd’hui en nette diminution dans le monde entier. " border="0" />
Tous en chœur. À l’unisson, ces pélicans semblent chanter de concert sous la direction attentive et passionnée d’un des leurs. Une bien étrange chorale aviaire. Très grégaires, la plupart des espèces de pélicans nichent en colonies. Ils se nourrissent en commun, se reposent en groupes, volent en imposantes formations et... chantent ensemble. Toutefois, la majorité de ces oiseaux sont plutôt silencieux. À l’exception de la période de reproduction, pendant laquelle les adultes émettent des cris bas et discordants. Une parade sonore criarde, très éloignée des trilles harmonieux des merles ou des chardonnerets. Les populations de pélicans sont aujourd’hui en nette diminution dans le monde entier. (Juniors Bildarchiv/SUNSET)    L'homme descendrait du cheval.....    Enfin, après qu'il soit monté dessus!
<b></div>Cirque Cheval.</b> S’il y a bien un homme qui sait comment murmurer à l’oreille des chevaux, c’est bien lui. Bartabas, le célèbre cavalier et dresseur, qui « voit parfois dans le regard d’un cheval une beauté inhumaine ; celle d’un monde d’avant le passage des hommes. » Ces acteurs, et danseurs, sont en pleine représentation du dernier spectacle signé Bartabas : « We were Horses » (Nous avons été des chevaux). Après l’Angleterre, la troupe équestre s’attaque à la France, où elle est en tournée jusqu’au 10 juin. Cirque Cheval. S’il y a bien un homme qui sait comment murmurer à l’oreille des chevaux, c’est bien lui. Bartabas, le célèbre cavalier et dresseur, qui « voit parfois dans le regard d’un cheval une beauté inhumaine ; celle d’un monde d’avant le passage des hommes. » Ces acteurs, et danseurs, sont en pleine représentation du dernier spectacle signé Bartabas : « We were Horses » (Nous avons été des chevaux). Après l’Angleterre, la troupe équestre s’attaque à la France, où elle est en tournée jusqu’au 10 juin. " title="Coucou, me revoilou...." />Cirque Cheval. S’il y a bien un homme qui sait comment murmurer à l’oreille des chevaux, c’est bien lui. Bartabas, le célèbre cavalier et dresseur, qui « voit parfois dans le regard d’un cheval une beauté inhumaine ; celle d’un monde d’avant le passage des hommes. » Ces acteurs, et danseurs, sont en pleine représentation du dernier spectacle signé Bartabas : « We were Horses » (Nous avons été des chevaux). Après l’Angleterre, la troupe équestre s’attaque à la France, où elle est en tournée jusqu’au 10 juin. " border="0" />
Cirque Cheval. S’il y a bien un homme qui sait comment murmurer à l’oreille des chevaux, c’est bien lui. Bartabas, le célèbre cavalier et dresseur, qui « voit parfois dans le regard d’un cheval une beauté inhumaine ; celle d’un monde d’avant le passage des hommes. » Ces acteurs, et danseurs, sont en pleine représentation du dernier spectacle signé Bartabas : « We were Horses » (Nous avons été des chevaux). Après l’Angleterre, la troupe équestre s’attaque à la France, où elle est en tournée jusqu’au 10 juin. Philippe Huguen / AFP        Hey Monsieur, réveillez-vous!       ça fait trop longtemps que vous êtes appuyé sur le tronc...
<b></div>Trop chaud pour pédaler.</b> Avec une température atteignant 46 °C à l’ombre, la ville d’Amritsar, dans la province indienne du Pendjab (nord-ouest), est littéralement écrasée de chaleur. À l’image de ce conducteur de rickshaw, l’un des principaux véhicules de transport collectif du sous-continent indien, surpris en pleine sieste par le photographe. Un calme trompeur dans une ville, haut lieu du sikhisme, où les tensions religieuses ont laissé des marques douloureuses. En juin 1984, une opération militaire du gouvernement indien contre l’occupation du Temple d’or, le principal sanctuaire sikh, par des groupes de « religieux extrémistes » avait fait plusieurs centaines de victimes. Trop chaud pour pédaler. Avec une température atteignant 46 °C à l’ombre, la ville d’Amritsar, dans la province indienne du Pendjab (nord-ouest), est littéralement écrasée de chaleur. À l’image de ce conducteur de rickshaw, l’un des principaux véhicules de transport collectif du sous-continent indien, surpris en pleine sieste par le photographe. Un calme trompeur dans une ville, haut lieu du sikhisme, où les tensions religieuses ont laissé des marques douloureuses. En juin 1984, une opération militaire du gouvernement indien contre l’occupation du Temple d’or, le principal sanctuaire sikh, par des groupes de « religieux extrémistes » avait fait plusieurs centaines de victimes. " title="Coucou, me revoilou...." />Trop chaud pour pédaler. Avec une température atteignant 46 °C à l’ombre, la ville d’Amritsar, dans la province indienne du Pendjab (nord-ouest), est littéralement écrasée de chaleur. À l’image de ce conducteur de rickshaw, l’un des principaux véhicules de transport collectif du sous-continent indien, surpris en pleine sieste par le photographe. Un calme trompeur dans une ville, haut lieu du sikhisme, où les tensions religieuses ont laissé des marques douloureuses. En juin 1984, une opération militaire du gouvernement indien contre l’occupation du Temple d’or, le principal sanctuaire sikh, par des groupes de « religieux extrémistes » avait fait plusieurs centaines de victimes. " border="0" /> Trop chaud pour pédaler. Avec une température atteignant 46 °C à l’ombre, la ville d’Amritsar, dans la province indienne du Pendjab (nord-ouest), est littéralement écrasée de chaleur. À l’image de ce conducteur de rickshaw, l’un des principaux véhicules de transport collectif du sous-continent indien, surpris en pleine sieste par le photographe. Un calme trompeur dans une ville, haut lieu du sikhisme, où les tensions religieuses ont laissé des marques douloureuses. En juin 1984, une opération militaire du gouvernement indien contre l’occupation du Temple d’or, le principal sanctuaire sikh, par des groupes de « religieux extrémistes » avait fait plusieurs centaines de victimes. (Narinder Nanu/AFP)

Marigotine


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Marigotine 1310 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine