À l’unisson, ces pélicans semblent chanter de concert sous la direction attentive et passionnée d’un des leurs. Une bien étrange chorale aviaire. Très grégaires, la plupart des espèces de pélicans nichent en colonies. Ils se nourrissent en commun, se reposent en groupes, volent en imposantes formations et... chantent ensemble. Toutefois, la majorité de ces oiseaux sont plutôt silencieux. À l’exception de la période de reproduction, pendant laquelle les adultes émettent des cris bas et discordants. Une parade sonore criarde, très éloignée des trilles harmonieux des merles ou des chardonnerets. Les populations de pélicans sont aujourd’hui en nette diminution dans le monde entier. " title="Coucou, me revoilou...." />
À l’unisson, ces pélicans semblent chanter de concert sous la direction attentive et passionnée d’un des leurs. Une bien étrange chorale aviaire. Très grégaires, la plupart des espèces de pélicans nichent en colonies. Ils se nourrissent en commun, se reposent en groupes, volent en imposantes formations et... chantent ensemble. Toutefois, la majorité de ces oiseaux sont plutôt silencieux. À l’exception de la période de reproduction, pendant laquelle les adultes émettent des cris bas et discordants. Une parade sonore criarde, très éloignée des trilles harmonieux des merles ou des chardonnerets. Les populations de pélicans sont aujourd’hui en nette diminution dans le monde entier. " border="0" />
Cirque Cheval. S’il y a bien un homme qui sait comment murmurer à l’oreille des chevaux, c’est bien lui. Bartabas, le célèbre cavalier et dresseur, qui « voit parfois dans le regard d’un cheval une beauté inhumaine ; celle d’un monde d’avant le passage des hommes. » Ces acteurs, et danseurs, sont en pleine représentation du dernier spectacle signé Bartabas : « We were Horses » (Nous avons été des chevaux). Après l’Angleterre, la troupe équestre s’attaque à la France, où elle est en tournée jusqu’au 10 juin. " title="Coucou, me revoilou...." />
Cirque Cheval. S’il y a bien un homme qui sait comment murmurer à l’oreille des chevaux, c’est bien lui. Bartabas, le célèbre cavalier et dresseur, qui « voit parfois dans le regard d’un cheval une beauté inhumaine ; celle d’un monde d’avant le passage des hommes. » Ces acteurs, et danseurs, sont en pleine représentation du dernier spectacle signé Bartabas : « We were Horses » (Nous avons été des chevaux). Après l’Angleterre, la troupe équestre s’attaque à la France, où elle est en tournée jusqu’au 10 juin. " border="0" />
Cirque Cheval. S’il y a bien un homme qui sait comment murmurer à l’oreille des chevaux, c’est bien lui. Bartabas, le célèbre cavalier et
dresseur, qui « voit parfois dans le regard d’un cheval une beauté inhumaine ; celle d’un monde d’avant le passage des hommes. » Ces acteurs, et danseurs, sont en pleine représentation
du dernier spectacle signé Bartabas : « We were Horses » (Nous avons été des chevaux). Après l’Angleterre, la troupe équestre s’attaque à la France, où elle est en tournée jusqu’au 10
juin. Philippe Huguen / AFP
Hey Monsieur, réveillez-vous!
ça fait trop longtemps que vous êtes
appuyé sur le tronc...
Trop chaud pour pédaler. Avec une température atteignant 46 °C à l’ombre, la ville d’Amritsar, dans la province indienne du Pendjab (nord-ouest), est littéralement écrasée de chaleur. À l’image de ce conducteur de rickshaw, l’un des principaux véhicules de transport collectif du sous-continent indien, surpris en pleine sieste par le photographe. Un calme trompeur dans une ville, haut lieu du sikhisme, où les tensions religieuses ont laissé des marques douloureuses. En juin 1984, une opération militaire du gouvernement indien contre l’occupation du Temple d’or, le principal sanctuaire sikh, par des groupes de « religieux extrémistes » avait fait plusieurs centaines de victimes. " title="Coucou, me revoilou...." />
Trop chaud pour pédaler. Avec une température atteignant 46 °C à l’ombre, la ville d’Amritsar, dans la province indienne du Pendjab (nord-ouest), est littéralement écrasée de chaleur. À l’image de ce conducteur de rickshaw, l’un des principaux véhicules de transport collectif du sous-continent indien, surpris en pleine sieste par le photographe. Un calme trompeur dans une ville, haut lieu du sikhisme, où les tensions religieuses ont laissé des marques douloureuses. En juin 1984, une opération militaire du gouvernement indien contre l’occupation du Temple d’or, le principal sanctuaire sikh, par des groupes de « religieux extrémistes » avait fait plusieurs centaines de victimes. " border="0" />
Trop chaud pour pédaler. Avec une température atteignant 46 °C à l’ombre, la ville d’Amritsar, dans la province indienne du Pendjab (nord-ouest), est littéralement
écrasée de chaleur. À l’image de ce conducteur de rickshaw, l’un des principaux véhicules de transport collectif du sous-continent indien, surpris en pleine sieste par le
photographe. Un calme trompeur dans une ville, haut lieu du sikhisme, où les tensions religieuses ont laissé des marques douloureuses. En juin 1984, une opération militaire du
gouvernement indien contre l’occupation du Temple d’or, le principal sanctuaire sikh, par des groupes de « religieux extrémistes » avait fait plusieurs centaines de victimes.
(Narinder Nanu/AFP)
Marigotine