Jean,le soutien d'hier devient le traître en chef, organisateur d'une liste rebelle qui s'intitule (forcément) de rassemblement comme toutes les listes dissidentes. Martinon, refuse de céder et se maintient, mais pour combien de temps. Ses jours semblent compter, tant à la mairie de Neuilly qu'à son poste de conseiller de l'Elysée. Déjà, il n'était pas des deux derniers voyages officiels de l'omni-président.
Celui qu'on surnommait Martin-Cavaillon, parce qu'il avait le melon, est en train de tomber comme un fruit trop mûr, à l'ego surgonflé. Celui qui avait essuyé en direct les rebuffades du président lors de l'interview de "60 minutes" vient de voir sa carrière politique voler en éclat.
Pendant ce temps, Jean Sarkozy, l'héritier à la chevelure ondoyante, au look de jeune premier vaguement baba-cool, inaugure la sienne par une traîtrise, un atavisme familial car son père avait entamer la sienne en torpillant Pasqua au même endroit.
Les Sarkozy font de la politique comme dans les westerns. Pas étonnant, qu'ils se prennent pour des cow-boys !
Dominik
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