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Notre nouveau jardin s'étoffe de jour en jour...

Par Segolinette
Bye bye la Charente, coucou les Hautes Pyrénées, c'était le 28 mars dernier.Nous avons donc laissé notre beau potager derrière nous, et il nous faut tout recommencer ici, où le jardin est une vague pelouse tassée et feutrée, luttant contre la mousse et les racines des multiples arbustes plantés par les anciens propriétaires...
Cependant, grâce à la grande patience de mon mari, nous voyons déjà pousser quelques promesses...

Notre nouveau jardin s'étoffe de jour en jour...

Plusieurs pieds de courgettes...

Notre nouveau jardin s'étoffe de jour en jour...

Quelques tomates...

Et puis aussi quelques belles surprises!!!

Notre nouveau jardin s'étoffe de jour en jour...

Des fraises des bois, trèèèès bonnes...

Notre nouveau jardin s'étoffe de jour en jour...
Les fraises des bois, nous les avons vues presque dès notre emménagement, donc je ne peux pas vraiment prétendre que ce soit une surprise totale... en revanche, cachés dans des arbustes (que je ne connais pas) deux autres trésors nous avaient totalement échappés :
Notre nouveau jardin s'étoffe de jour en jour...
Des groseilles, que je n'ai découvert que très très récemment, complètement par hasard, alors qu'elles rosissaient déjà... Et à deux ou trois mètres sur le coté...
Notre nouveau jardin s'étoffe de jour en jour...

Notre nouveau jardin s'étoffe de jour en jour...

Des bamboises...

Notre nouveau jardin s'étoffe de jour en jour...

Comment ça, on dit des framboises?

Les framboises, c'est le fruit de mon enfance, que j'allais cueillir avec mon pépé, dans son jardin. Mon pépé aimait beaucoup jardiner et il avait les pouces verts. Il avait plein plein d'arbres fruitiers, des cerisiers, des pêchers, pruniers, pommiers, cognassiers, amandiers, noisetiers, figuiers, néfliers... et il avait aussi des framboisiers, des fruits desquels je me régalais avec un plaisir toujours renouvelé. Et quand j'en avais plein la bouche, je parlais souvent de bamboises... et à qui s'avisait de me dire de prononcer "Framboises", je répondais effrontément "Je dis comme je veux, d'abord!".
Donc spéciale dédicace à mon grand-père Louis, qui eut aimé mourir en cultivant ses salades, mais qui s'est endormit pour toujours alors qu'il devait se faire opérer du cœur, à l'hôpital, à quelques jours de mes 21 ans.

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