Pas forcément. Si le soulèvement semble avoir démarré en imitation de ce qui se passe dans la région, ce serait maintenant une affaire de clans. Et que le celui du président Saleh, dos au mur, n’ait pas dit son dernier mot. À cela, il faut ajouter l’Arabie saoudite qui craint le chaos de son voisin, et les USA qui se méfient d’une renaissance d’un foyer de prosélytisme pour Al-Qaïda…
Compléments :
- Ce que dit le Washington Post, et The Economist (avant le départ).