Pendant 25 ans on nous a dit que Tchernobyl c'était à cause des Soviétiques, et que ça ne pouvait pas arriver dans un pays de haute technologie comme les Etats-Unis, la France et le Japon, tout
cet argumentaire s'est effondré", a déclaré M. Lhomme.
Le porte-parole du réseau Sortir du nucléaire, Stéphane Lhomme, a estimé que le sondage Ifop selon lequel "77% des Français sont pour la sortie du nucléaire" montre que "l'opinion publique française a pris conscience avec Fukushima de la gravité du risque".
"Le chiffre est quand même extrêmement élevé, d'autant qu'on n'est plus dans l'émotion de l'instant", a-t-il souligné auprès de l'AFP.
Selon un sondage Ifop publié dans le Journal du dimanche, plus de six Français sur dix (62%) souhaitent un arrêt progressif "sur 25 ou 30 ans" du programme nucléaire hexagonal et de ses centrales, et 15% se prononcent pour un arrêt rapide du programme nucléaire français. 22% sont au contraire favorables à sa poursuite et à la construction de nouvelles centrales. 1% ne se prononce pas.
"Pendant 25 ans on nous a dit que Tchernobyl c'était à cause des Soviétiques, et que ça ne pouvait pas arriver dans un pays de haute technologie comme les Etats-Unis, la France et le Japon, tout cet argumentaire s'est effondré", a déclaré M. Lhomme.
"Maintenant l'opinion prend acte que ça peut arriver à tout moment en France et qu'il faut sortir du nucléaire. Et ça malgré la montée au créneau des politiques de droite et de gauche et d'Areva et EDF", a-t-il ajouté.
Six Français sur dix favorables à une sortie progressive du nucléaire
Pendant 25 ans on nous a dit que Tchernobyl c'était à cause des Soviétiques, et que ça ne pouvait pas arriver dans un pays de haute technologie comme les Etats-Unis, la France et le Japon, tout cet argumentaire s'est effondré", a déclaré M. Lhomme.
Le porte-parole du réseau Sortir du nucléaire, Stéphane Lhomme, a estimé que le sondage Ifop selon lequel "77% des Français sont pour la sortie du nucléaire" montre que "l'opinion publique française a pris conscience avec Fukushima de la gravité du risque".
"Le chiffre est quand même extrêmement élevé, d'autant qu'on n'est plus dans l'émotion de l'instant", a-t-il souligné auprès de l'AFP.
Selon un sondage Ifop publié dans le Journal du dimanche, plus de six Français sur dix (62%) souhaitent un arrêt progressif "sur 25 ou 30 ans" du programme nucléaire hexagonal et de ses centrales, et 15% se prononcent pour un arrêt rapide du programme nucléaire français. 22% sont au contraire favorables à sa poursuite et à la construction de nouvelles centrales. 1% ne se prononce pas.
"Pendant 25 ans on nous a dit que Tchernobyl c'était à cause des Soviétiques, et que ça ne pouvait pas arriver dans un pays de haute technologie comme les Etats-Unis, la France et le Japon, tout cet argumentaire s'est effondré", a déclaré M. Lhomme.
"Maintenant l'opinion prend acte que ça peut arriver à tout moment en France et qu'il faut sortir du nucléaire. Et ça malgré la montée au créneau des politiques de droite et de gauche et d'Areva et EDF", a-t-il ajouté.
Six Français sur dix favorables à une sortie progressive du nucléaire