S’il s’avère que les études oubliées et volontairement détournée d’Antoine Béchamp, docteur ès-Sciences, docteur en médecine, en chimie et en pharmacie décrivent plus précisément la réalité biologique que les interprétations tronquées du chimiste et biologiste Louis Pasteur (Voir l’article publié le 6 mai 2011 sur agoravox « médecine de guerre »), alors il y a fort à parier que la contamination alimentaire dont sont victimes les populations dans le Nord de l’Allemagne en ce moment ne soit pas liée directement à l’ingestion d’une bactérie contaminante mais à un empoisonnement alimentaire autre qui provoque dans le corps des victimes la mutation bactérienne incriminée. Suivant la théorie expérimentale du docteur Béchamp, le corps humain soumis à un trauma psychologique, physique ou toxique produit à partir de particules vivantes, présentes en toutes cellules et qu’il appela en son temps microzymas, le corps humain donc produit de lui-même une souche bactérienne ou virale ou fongique active qui permet la lyse des tissus traumatisés et la réorganisation nécessaire au rétablissement de l’équilibre du milieu intérieur. Les microbes suivant cette théorie validée par 40 ans d’histologie mais effacées de la mémoire de la médecine par les Lobis de guerre pharmaceutique, qui n’y auraient pas trouvé de rentabilité financière, les microbes seraient dont un adjuvant de la guérison, une création réactive du corps pour, en quelque sorte, nettoyer et aider à rétablir l’harmonie du vivant.
Dans cette optique et compte tenu des syndromes de diarrhées hémorragiques qui sont de toute évidence une réaction d’expulsion violente et vitale du corps face à une agression brutale, la piste d’une intoxication alimentaire est effectivement plus que plausible. Ne se pourrait il pas que cette bactérie mutante extrêmement rare soit une création de l’organisme en souffrance aigue tentant d’expulser un radio éléments ingéré au travers d’un aliment particulier et qui aurait comme les champignons ou les plantes à feuilles vertes ( épinard, salades…) par exemple la caractéristique de concentrer ces métaux radioactifs. Le caractère exceptionnel de cette souche bactérienne doit être mis en parallèle avec le caractère exceptionnel d’un type de contamination du moment. Dans ces temps de dissémination planétaire dans l’hémisphère Nord d’émanations radioactives d’iode, de Césium voir de plutonium ou autre radioéléments issus de la centrale nucléaire de Fukushima, cette hypothèse mériterait d’être étudiée scientifiquement dans l’urgence et pourrait dans le meilleur des cas permettre d’éliminer cette cause possible de contamination.
Erik Gruchet