La FIFA vient de réélire son grand-prêtre Blatter, blanchi officiellement. Encore une année, et il sera canonisé, l’aïeul utile.
LA FIFA constitue clairement un environnement trouble pour le football mondial, qui continue de démontrer le pouvoir absolu de l’argent et des dessous de table dans cet univers.
Quant au « brave » Bulat, il tire à vue sur tout ce qui bouge ou ne bouge pas assez à Xamax, cette nouvelle péninsule tchétchène aux moeurs délicates et empreintes d’humanité.
Le trait d’union entre eux: le fric et la difficulté pour les politiques, en démocratie, de reconnaître et faire reconnaître que ce sport est devenu une machine à laver les millions dont l’origine ou la destination laissent forcément songeur.