Le verdict populaire ne pardonne pas

Publié le 01 juin 2011 par Myarts

Encore une histoire de vainqueur et de vaincu aujourd’hui. Un proverbe chinois… le vainqueur, maître du monde, le vaincu, bandit déclaré.

Hier encore, il était un président redouté, solidement installé sur de l’argent du pétrole de son pays et soutenu par un certain Occident complaisant.

Comme il y a un peu trop de photos depuis quelques jours… à notre goût, aujourd’hui, une illustration du dirigeant libyen en sursis, Mouammar Kadhafi sur un mur à Benghazi.

Hier, la télévision d’État libyenne diffuse des images de Mouammar Kadhafi qui reçoit le président sud-africain Jacob Zuma, en visite comme émissaire pour une résolution pacifique de la guerre civile en Libye. Kadhafi, amaigri, est vu pour la première fois en public depuis le 11 mai.

Ah oui! Le dessin sur le mur… un amalgame de symboles, la victoire, l’étoile de David, le pendu et le message sans appel… « Le peuple a parlé ».  On dirait que le verdict populaire ne pardonne pas et ce, même en démocratie.