Le destin d'une femme symbolisé par cette toile de Picasso: "La femme qui pleure".
Toute blogueuse attentive à la fréquentation de son blog se doit de jeter, épisodiquement, un regard sur les statistiques qui révèlent les mots-clés entrés dans les moteurs de recherche dont le géant Google qui ne recence pas moins de 2 milliards de recherches par jour.
Donc, les mots-clés qui amènent les internautes sur ce blog sont, entre autres, depuis le 16 mai:
-Anne Sinclair en levrette... Sic
J'avoue que j'imagine difficilement l'épouse de DSK, en position de levrette, sur le fauteuil du même nom évoqué par Gaëlle-Marie dans son billet. Ce qui m'interpelle, à vrai dire, c'est l'imagination débordante du quidam dont l'esprit vagabonde à un point tel qu'il a envie d'apercevoir Anne Sinclair dans une position pour le moins équivoque. Ou alors, serait-ce moi qui ai l'esprit lubrique?
-Anne Sinclair la cocue magnifique...
Là, j'ai bien aimé. Ou on a eu la même idée que moi ou on a piqué le titre d'un de mes articles. Je ne suis pas la seule à penser que cette humaniste, féministe, dégage quelque chose de pathétique. Féministe? Je reste la bouche ouverte quelques secondes en réfléchissant à la remarque de M. l'autre jour: "Ce que m'inspire le respect, me dit-elle, c'est de voir cette femme (sinclair) se précipiter pour relever son homme qui est tombé au plus bas". Sortant de la bouche de M., la phrase me laisse perplexe. Elle qui serait plutôt du genre: "Tu as fait le con, tu m'as humiliée, je te laisse crever!" Alors, peut-être, que nous, qui trouverions légitime de prendre notre revanche dans pareille situation, nous sommes des salopes. Moi qui croyais tout savoir de la vie, j'y comprends que dalle...
-Anne Sinclair où trouve-t-elle son argent.
En voilà un(e) qui a les pieds sur terre. Le fric, les pépites, le nerf de la guerre, il (elle) se demande où diable trouve-t-elle le fric qui lui permet de veiller sur Nounours, payer sa caution, mettre en garantie sa propriété de Washington qui, à elle seule, vaut quelques millions de dollars.
Mme DSK, troisième du nom, détient sa fortune de l'héritage familial lié au monde de l'art. Paul Rosenberg, son grand-père, peintre et surtout galériste de renom a eu le nez fin au début du 20ème siècle. Il fut le marchand de Picasso et s'intéressa à Braque, Léger, Matisse, des artistes dont les toiles s'arrachent, actuellement, à prix d'or. Ceci expliquant cela....
En avril, DSK confia à Libération que son épouse l'avait mis à l'abri du besoin pour toujours.*
DSK a encore de beaux jours devant lui.....
*Source: Nouvel Observateur