Dur, dur… Ce film serait l’oeuvre d’un tout autre metteur en scène que Woody Allen, j’aurais trouvé que j’avais passé un moment merveilleux dans ce Paris des années 20, empli d’artistes tels Bunuel, Picasso, Hemingway mais malheureusement, l’opus est signé WA…
Alors, mon petit binoclard préféré, je te le demande presque à genoux : s’il te plaît, reviens dans ta bonne vieille ville de New York, ton humour noir me manque cruellement! Bye bye London, au revoir Paris et welcome in the Big Apple.
Car, à vrai dire, je n’ai pas eu l’impression durant la projection, d’avoir ne serait-ce que souri une seule fois (mise à part lorsque j’ai vu la prestation de Carla Bruni…) et ça, quand on va voir un film de Woody Allen, c’est juste impossible.
Evidemment, les dialogues sont toujours aussi affutés, les personnages sont toujours aussi caricaturaux (les parents affiliés au Tea Party) mais il manque quelque chose. Ah, en revanche, ton (oui, oui, je continue à parler avec Woowoo…) choix musical est toujours aussi excellent et tu m’as donné envie avec ton film de courir acheter un CD de Cole Porter.
NB : Bravo à toi Adrian (oui, oui, lui aussi, je le tutoie), ta prestation en Salvador Dali était parfaite. RRRRRhinocéros!…