Tu trouveras ci-après un lien qui te conduira à la lecture d'un entretien remarquable avec Anne Keogh, professeur de médecine et cardiologue responsable en transplantation cardiaque. Cet entretien a été réalisé par l'équipe du site Antidote Europe.
C'est à cette occasion que tu comprends pourquoi une infirmière américaine qui s'appelait Judith Mayo avait écrit, en août 1973, dans un quotidien local : "Je préfèrerais que ce soit un boucher qui tue mon chien plutôt que de le voir finir dans les mains de chercheurs scientifiques. Peu importe les moyens, peu importe combien l'expérience est horrible, ils affirmeront toujours que le résultat final justifie tout. Leur vie gravite autour de grenouilles éviscérées, de lapins ébouillantés, de chats décérébrés et de chiens démembrés".
http://antidote-europe.org/interviews/anne-keogh-heart-specialist#
"Dans mon école de médecine, en 1976, des rats étaient placés sur des plateaux en cuivre chauffés à blanc (pour démontrer qu’ils allaient sauter dans n’importe quelle direction pour éviter une brûlure) puis dans une chambre froide pendant six heures. Scientifique ? Non. Ethiquement acceptable ? Non.
Des étudiants intelligents de 20 ans n‘étaient pas étonnés du résultat (des enfants de 4 ans ne le seraient pas non plus). Un autre test consistait à laisser nager un rat jusqu‘à ce que le chercheur juge que le rat était épuisé et sur le point de se noyer. Science médiocre. Cruel et stupide. Toutes les expériences réalisées sur des animaux dans un but “éducatif” auraient pu être remplacées par des exercices bien conçus n’utilisant pas d’animaux."