Le Maroc est la patrie d’origine d’artistes comme Jamel Debbouze et Gad Elmaleh qui sont aujourd’hui les principales stars de l’humour.
Dans ce pays de culture francophone jeune et dynamique, ouvert sur le monde, l’humour est un joyau de la culture populaire.
Marrakech étant incontestablement le phare touristique du pays, Il était donc naturel que le “Marrakech Du Rire”, un festival d’envergure et d’ambition internationale s’y déroule.
Ce Festival est une passerelle entre deux pays, deux régions, deux cultures et deux continents.
Il réunira, au cours d’un même événement, les stars de l’humour francophone et les jeunes pousses qui représentent l’avenir du genre. Il permettra également de présenter au Maroc des spectacles visuels internationaux, et offrira des fêtes populaires dans des lieux privilégiés afin de faire honneur à la tradition festive et à l’hospitalité marocaine.
Pour cette première édition du Festival d’Humour de Marrakech, la programmation est tout simplement unique : sur un même festival et sur quelques jours, ce sont les plus grands noms de l’humour francophone et arabophone qui viendront à Marrakech présenter leur spectacle.
Pour ces 5 jours de Festival, « Marrakech du Rire » et « Awaln’art » vont requérir le travail de 400 personnes : Une centaine d’artistes, une centaine de bénévoles 200 techniciens
En 3 jours au Palais des Congrès, seront organisés 8 spectacles dont 2 premières parties
Une dizaine de spectacles gratuits dans les rues de Marrakech, devant le Palais des Congrès et les villages alentours.
Les gradins et le décor ainsi que les tours techniques qui seront montés lors du gala de clôture au Palais Badia nécessiteront entre 35 et 40 tonnes de structure et un travail de montage en 24/24 durant 6 jours.
A l’occasion de la captation de ce gala de clôture par la 2M, quelques 15 kms de câble serviront à alimenter les 350 projecteurs de lumière et à acheminer le signal aux caméras et la bonne sonorisation du plateau.
Quelques 1 200 KVA (soit 2165 ampères) nécessitant ainsi 318 litres de fuel à l’heure, alimenteront les besoins en énergie.
Entre 10 et 11 caméras dont une grue télescopique et un junior (caméra télécommandée sur rail) ainsi qu’une trentaine de micros HF permettront techniquement d’immortaliser ce gala de clôture.
Le tout acheminé par le balai d’une cinquantaine de camions durant les 10 jours d’installation.