Cette année nous n’avons pas encore pu nous baigner sous la première averse de mai. A La Havane la sècheresse nous a privés de cette pluie qui selon la tradition populaire nous porte bonheur. Les mangues qui pendent aux branches semblent dans l’attente d’une ondée pour être prêtes à manger. La terre fendillée, des flamboyants à peine fleuris et dans l’air cette poussière poisseuse qui disparaîtra seulement lorsqu’il commencera à pleuvoir. Qu’ils semblent loin le tintement de la pluie sur la fenêtre, l’odeur de l’humidité, les gouttes qui restent sur les feuilles des arbres après un orage !la suite ici
Cette année nous n’avons pas encore pu nous baigner sous la première averse de mai. A La Havane la sècheresse nous a privés de cette pluie qui selon la tradition populaire nous porte bonheur. Les mangues qui pendent aux branches semblent dans l’attente d’une ondée pour être prêtes à manger. La terre fendillée, des flamboyants à peine fleuris et dans l’air cette poussière poisseuse qui disparaîtra seulement lorsqu’il commencera à pleuvoir. Qu’ils semblent loin le tintement de la pluie sur la fenêtre, l’odeur de l’humidité, les gouttes qui restent sur les feuilles des arbres après un orage !la suite ici