Fіаlyne H Оlіvès : pоème Воnne fête mаmаn

Au premier cri seule la douceur, l'odeur, l'amour réconfortent et apaisent la peur d'un nouveau-né. Aux larmes qui se bousculent sur les joues tendres ou flétries d'un enfant, jeune ou vieilli, une seule étreinte guérit et sèche des rivières de peine. De celle qui porte ce nom magique; ce seul mot, enfoui au plus profond d'un être, gravé dans le coeur, étincelant sur les lèvres qui ne s'efface, ne disparaît, et ne fuit jamais, un seul : Maman Je me souviens d'une image de toi Quand tu me prenais dans tes petits bras me berçais doucement de ta voix Chantant des prières pour m'endormir . Comme je voudrais revivre ce temps Où petite, j'occupais tes instants Ton regard sur moi posé me scrutant Traçait mon sourire au fil des ans ! Dans tes yeux réside ma lumière Blottie dans ta pupille, j'en suis fière ! Moi, chair de ta chair, je me sens fleurir Grâce à toi j'ai pu mon avenir bâtir. Maman, je sais aujourd'hui ta valeur Mon équilibre, le fruit de ta sueur Pour chacun de mes sourires, merci Je t'aimerai toujours, toute ma vie.