Le 22 février 2009, une prostituée de nationalité bulgare vient déposer une plainte à la gendarmerie de Capestang. Elle exerce son métier sur la route de Narbonne (sur la RN 113) et elle a fait l’objet de menaces de la part d’un homme qui voulait qu’elle travaille pour lui. Lors de sa déposition, elle signale l’arrivée de jeunes femmes, originaires de l’Europe de l’Est, déposées par des hommes. Les gendarmes mènent l’enquête et identifient 29 personnes étant liées à la prostitution. L’enquête ayant fait apparaître qu’il y avait trois réseaux autour de ces prostituées. Deux avaient leurs résidences principales rue Guilhemon à Béziers, et le dernier rue Berlioz, dans le même quartier.