Pas besoin de parler, écoute mon corps !

Crédit image: L'univers de Dumé

La première fois que je l’ai vu c’était au travail, elle avait un uniforme plutôt mignon, vous savez ce genre de petit uniforme d’infirmière qui vous donne le goût tout à coup d’être malade… Ces longs cheveux blonds lui donnait l’apparence d’un ange ou était ce moi, déjà qui me laissait emporté par sa beauté… Son regard mi-gêné mi-aguicheur ne pouvait laissé personne de marbre et moi avec mon humour habituel je commençais à la taquiner tout de suite. On dit bien que l’on agace ceux que l’on aime et bien, dans mon cas, j’aime bien des gens !

Plusieurs mois plus tard, nous sortîmes ensemble dans une soirée chez des amis, elle avait mis un jeans moulant, un petit top décolleté, juste assez pour laisser aller notre imagination… Elle avait ses longs cheveux blonds lousses qui venait me chatouiller le nez, dans l’auto tout au long du parcours, vue que j’étais assis derrière elle et que je m’était avancé pour mieux lui parler.

La soirée fut passé à ce taquiner l’un l’autre, je ne sais plus trop d’ailleurs ce qui ce passa avec les autres ou ce qui se dit… Je me rappel bien qui était présent, mais que très vaguement ce que nous avons bien pu jaser… Je me rappel son regard insistant, ces mains qui voulaient venir me voir, ses lèvres qui me regardaient avec un désir provocateur et quand nous sommes rentrés tout les deux à l’intérieur, comment elle m’a attrapé et coincé contre un mur pour bien me caresser les fesses… Un peu plus et j’aurais succombé, mais il y avait des enfants qui dormaient dans la chambre juste en face…

À la fin de la soirée, nous avons été la reconduire, moi toujours derrière elle, en train de lui faire un massage, sa chevelure me caressant, faisant ce que tout le reste de son corps voulait me faire, mais ne pouvant le faire à cause d’un témoin gênant… Je descendis même jusqu’à la pointe de l’indécence, regardant la beauté de ses monts se dévoilant doucement, mais il ne fallait pas aller trop loin… Malheureusement, on arriva a destination, elle sorti malgré elle, je sorti de même, ne m’en pouvant plus. Je m’approchai d’elle qui criait son envie, je ne pu résister à ses lèvres et nous fusionnèrent durant quelques minutes…

Sur le chemin du retour à la maison, je tremblai littéralement d’envie… Je ne croyais pas ce qui venait de ce passer, je venais d’embrasser un mannequin, une femme qui aurait pu l’être, du moins, si elle avait eu assez confiance en elle. Une belle femme au yeux verts, la chevelure dorée, les longues jambes fines, svelte, la taille parfaite, les petits seins qui nous invite a aller les caresser, le cou délicat qui appel nos baisés, les lobes d’oreilles qui nous narguent et aimeraient bien se faire titiller… Vraiment je venais d’embrasser une Nymphe !

D'autres billets qui pourraient vous intéresser: