JFK, le français pas l’autre donc, s’est laissé aller récemment dans des salmigondis pas très heureux, voire d’un goût et d’un aspect plutôt délétères.
Il nous dit quitter sur le champ le journalisme.
On veut bien, sans trop comprendre d’ailleurs ce suicide soudain. Il existe tout de même la présomption de gâtisme, en droit français.
Et voici qu’il laisse déjà des traces, sans ADN garanties, dans une épître parue dans le Monde de ce jour et intitulée en toute modestie « Ne jetez pas mes combats aux oubliettes« .
On veut bien, encore une fois, mais on peut jeter quoi alors ?