«Les Employés d’abord, les clients ensuite »

Il y a quelques jours, Vineet Nayar, PDG de HCL Technologies (HCLT), était à Paris pour la sortie de son livre «Les Employés d’abord, les clients ensuite ».

Mon intention première était de vous faire une fiche de lecture détaillée de cet ouvrage qui narre de manière passionnante la transformation réussie de HCLT et offre des grilles de lecture nouvelles en conduite du changement.

Mais à  la lecture de l’excellent billet d’Antony Poncier, je réalise que mon billet serait pour une large part en redite.  Alors, je me propose de changer d’angle et de vous raconter ma rencontre avec l’auteur lors de son passage à Paris le 16 mai dernier.

Sans doute parce que j’avais parlé spontanément du livre avant sa sortie en France, j’ai eu le privilège d’être invité au diner de lancement. A mon arrivée dans un salon de l’hôtel Raphael, je constate que le tout Paris du management à fait le déplacement : rédacteurs en chef de journaux économiques, professeurs de management d’école de commerce, responsables de société de conseil, etc.

Tous sont venus assister à la présentation  du livre et débordent de curiosité pour ce PDG qui place l’humain au cœur de sa stratégie et se paye le luxe de tripler ses recettes et son bénéfice d’exploitation en moins de quatre ans.

A l’issu de sa présentation où il évoque notamment les nouveaux modes de management mis en place au sein de HCLT et le cas de la génération Y, Vineet Nayar échange avec une grande simplicité avec les participants.

Au cours de ces échanges Vineet Nayar nous livre une anecdote amusante sur sa manière de recruter les responsables qui l’entourent :

«Lorsqu’un candidat arrive dans mon bureau pour un recrutement, je fais tout pour le convaincre d’accepter un autre poste. Par exemple, je vais pousser un commercial à accepter un poste de marketing. Généralement, 95% se laissent convaincre. En ce qui me concerne, je recrute les 5% qui me tiennent tête ».

Et puis il y a la dédicace du livre, à l’image de l’auteur : facile d’accès et assez loin de l’image classique du PDG.

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