Magazine Politique
L'addiction de DSK pour les soubrettes,pas très catholique, ni très socialiste
Publié le 26 mai 2011 par Ghx62
En Europe qui connaît « Madam Manhattan » on pourrait dire « Madame Claude » en France . La femme à la tête d'un réseau de call-girls, connue sous le surnom de «Manhattan Madam», déclare auFigarovouloir témoigner en cas de procès de Dominique Strauss-Kahn et apporte de nouveaux détails par rapport à ses récentes déclarations. Kristin Davis avait affirmé au quotidien britanniqueThe Timesavoir eu pour client Dominique Strauss-Kahn en 2006. À l'époque, une call-girl à son service se serait plainte de son «agressivité». La «mère maquerelle», à la tête de l'ex-agence new-yorkaise Wicked Models, a été incarcérée quatre mois à Rikers Island en 2008 pour proxénétisme. Elle déclare…«Je ne veux plus protéger un homme qui abuse des femmes, j'espère que notre système judiciaire, qui est juste, le condamnera à hauteur des faits qui lui sont reprochés», déclare-t-elle auFigaro. Kristin Davis raconte avoir entendu parler pour la première fois de DSK en janvier 2006, lorsque Irma Ricci, l'une de ses «filles», vivant entre Paris et Londres, l'a avertie qu'il allait l'appeler à New York. «Irma lui offrait ses services régulièrement depuis 2002, elle le rencontrait au club Le Baron à Paris. Elle m'a dit: ne lui envoie pas une petite nouvelle, il est trop agressif, trop brutal.»Ce même mois de janvier, affirme l'ex-«Manhattan Madam», Dominique Strauss-Kahn l'aurait appelée pour lui demander une «Américaine typique plutôt brune». Le tarif était de 1200 dollars de l'heure. «La conversation a été très rapide, il a été charmant», poursuit-elle, tout en refusant de dire si la destination était l'hôtel Sofitel. La call-girl, une fille du nom de Samantha, disponible ce soir-là, n'était pas des plus expérimentées mais elle correspondait à son goût. «Quand j'ai appelé pour vérifier que tout s'était bien passé, j'ai senti qu'il y avait quelque chose. Elle m'a dit ne plus vouloir avoir affaire à lui. Il avait été physiquement agressif, dominateur, intimidant.» DSK aurait fait appel une seconde fois à ses services (pour une Brésilienne), en septembre de la même année, cette fois sans poser de problème. Kristin Davis affirme avoir gardé sur ordinateur les preuves de ces «transactions» à New York.L’homme semble bien avoir retrouvé des couleurs en s’installant au frais de la princesse Anne S. dans un loft de 600 m2, pas moins que ça, faute de pouvoir sortir de cet immeuble, il pourra toujours y faire son joggingPlus que troublant, ces nouvelles révélations sur l’ancien directeur du FMI, un pervers sans aucun doute possible et…à en croire la presse et les médias, il va s’en sortir …une fois de plus le pouvoir du fric fera la différence, une fois de plus, je crois et je pense que le système ultra-capitaliste libéral nous mènent aux portes de l’enfer, plus simplement, « tu as du fric, alors tu peux faire ce que tu veux, tu seras toujours « blanchi »… « Raymond Aron avait raison, le système communiste s’est effondré parce que le système capitaliste était meilleur. Mais, il n’a pas vu qu’une fois installé seul et aux commandes du monde, il serait difficile de l’arrêter dans sa folie accapareuse et dans son absolu mépris des pauvres, au point qu’il sera trop tard, quand le capitalisme s’apercevra qu’en décimant l’espèce humaine par la pauvreté extrême des uns, il aura tué aussi le consommateur, c’est-à-dire le seul instrument de sa croissance. Le désenchantement social n’est pas inhérent à la nature humaine, c’est un fait politique dont les responsables sont les élites aveuglées par un consensuel accord entre leurs conditions de vie et le système économique. Il manque dans le marasme actuel quelques tempéraments bien trempés se rebellant devant la déchéance d’une démocratie, qui méritait mieux que les intellectuels prétentieux qui la dirigent. » Tiré d’une chronique de Richard3.comVoilà mon humeur du jour..