Bien que ces images soient fort séduisantes, sur un blog, c'est le titre qui doit d'abord allécher le chaland afin que celui-ci ait envie de lire la propose que vous venez de coucher sur votre clavier.
Dans le titre, on doit y trouver toute la quintessence, toute la beauté, toute la spiritualité des mots que vous avez mis des jours et des nuits à écrire.
Ou 5 minutes.
De nos jours, un titre bien racoleur sera toujours nettement plus attirant qu'un titre qui fleure bon la poésie et les fleurs des champs. Derrière le titre, il doit y avoir une promesse, l'assurance que l'on est en présence d'une oeuvre aboutie, écrite avec les tripes et/ou l'âme. Chacun son domaine de prédilection.
La mode en ce moment, sur la blogosphère et dont je fais partie, ne soyons pas de mauvaise foi, c'est le titre en anglais, histoire de montrer qu'on maîtrise un minimum la langue d'Albion, les titres avec le jeu-de-mot-de-la-mort-qui-tue dedans ou encore des phrases piquées dans les chansons/films/dialogues. Personnellement, je suis une grande partisane de ces diverses techniques susmentionnées. Partisane du moindre effort un jour, partisane du moindre effort toujours.
Dernièrement, j'ai aussi lu le "sans titre" que personnellement j'aime beaucoup parce que ça inspire le mystère sur ce qui va suivre et donc qui donne envie de cliquer sur "lire la suite".
Et, il y a celui que je déteste le plus, le titre suivi d'une étoile, et en dessous cette phrase "je sais mon titre est nul, mais c'est parce que je ne suis pas inspirée, toutes mes confuses".
Cette dernière version, me donne l'impression que la blogueuse ou le blogueur (ne faisons pas de sexisme volontaire), nous a pondu un texte à la vas-y-comme-je-te-pousse, les stats, les annonceurs, toussa, il faut les soigner, mais qu'importe le lecteur, pourvu qu'il y ait un article journalier, quitte à ce que ce soit de la merde (comme je sèche pour dire ça de manière moins agricole, je vous le sers comme ça vient).
Et il y a aussi le titre qui n'a stricement rien à voir avec le texte. Là aussi, je crois que je maîtrise pas trop mal le concept.
Dans 99 % des cas, pour illustrer le titre et/ou l'article, l'auteur ajoute une photo ou une illustration. Ca peut aller d'un cliché personnel à une photo trouvée sur le oueb 2.0.
Eh mais vous avez vu l'heure ? On en reparlera une autre fois, là il faut que je vous laisse, j'ai un cours de cupcakes.
Photo : Everything wants to be a unicorn