Une souffrance qui gêne notre quotidien.
Qui un jour nous entretient.
Comme d'un coup d'un seul il était devenu notre quotidien.
On se remet en question on se retient.
S'est pas forcement de notre faute mais pourtant on le détient.
C'est comme si la souffrance était voulu.
Qui ne laisse plus qu'une majorité absolue.
Tu te crois perdue mais en fait tu es résolue.
A souffrir car tu aimes cette vertu.
Tu es un peu bête mais tu te prends pour l'élue.
La souffrance s'est un combat.
Que seul toi-même te mettras à bas.
Les gens qui entourent te conseil.
Mais pour toi ils ne sont que des corbeilles.
HOOOO!!! oui on va te donner l'oreille.
Mais on ne changera rien à ton éveil.
D'affronter les choses part ta propre corneille.
C'est ta volonté d'être aidé.
Qui t'empêche d'avancer.
Tu es perdu toi et toi seul.
Et tu n'as plus qu'a souillé le seuil.
De tes actes qui t'on amener.
De jour en jour à t'enchainer.
Que ta faute qui réside dans ton habitude.
Qui perd en exactitude.