Magazine Informatique
La semaine dernière, j’étais au Klassentreffen, la 3eme édition de la rencontre internationale autours du social business a Wiesbaden en Allemagne.
Je en repars conforté dans mon ambition de contribuer, via une action communautaire, à adresser les problèmes les plus urgents de la planète.
Plus que des arguments rationnels sur la nécessité au jour d'aujourd'hui de mener une telle démarche, c'est toutes les histoires que j'ai pu entendre, ces petites victoires au quotidien d’entrepreneurs sociaux extraordinaires un peu partout dans le monde, qui donnent du sens a ce qu'on fait, que je retiens.
C’est aussi des rencontres exceptionnelles, des jeunes issues de partout dans le monde qui partagent la même envie de changer le monde et qui agissent dans ce sens. Makesense représentée en force lors de ce forum a été notamment distinguées par les participants comme l’un des meilleurs projets sociaux. Vive Le mouvement #YY !
Ce qui m’as le plus marqué, par ailleurs, c’est cette rencontre avec Hans Reitz, PDG et fondateur de Grameen Creative Labs. Au détour d’un workshop sur comment en finir avec la pauvreté dans le monde, nous avons eu une longue discussion sur le social business et notamment comment faire en sorte que SMSBridge, sans être un social business, puisse quand même apporter un impact social positif.
J’en reviens avec plein d’idées (que je développerai au fur et à mesure) mais avec une seule conviction : l’entrepreneuriat social est crucial pour le développement du monde particulièrement celui de l’Algerie.
D’ailleurs le défi que m’a lancé Hans à moi et a tous les jeunes algériens, c’est d’organiser en Algerie une rencontre au tours du social business et de passer un message en direct a toute la planet a l’occasion de la journee nationale du social business le 28 juin prochain.
Alors, cap ou pas cap ?