(Car) tu es conscience, tu es un, sans commencement ni fin,
Toi le terrible protecteur, refuge de ceux qui n'ont pas de protecteur.
Je te loue en mon cœur d'un esprit identique à toi." 1
Voici une interprétation contemporaine du célèbre hymne qu'Abhinavagupta composa en 962, l'Hymne à Bhairava (Bhairavastava). On raconte que ses disciples récitaient ces strophes tandis qu'Abhinavagupta disparaissait dans une grotte pour toujours.