J'étais donc très curieux de lire Mileno Carvalho, le dernier, l'ultime. Publié après la mort de Montalbàn dans un aéroport.
Donc, Carvalho accusé de meurtre fuit avec son fidèle Biscuter. Ils voyagent. Ils font le tour du monde. On tourne les pages, on voit du pays mais où est l'intrigue ? Ça se délite. Ça se compose de choses vues. Ça revient de temps à autre péniblement au genre policier.
Le roman est placé sous le patronage de Bouvard et Pécuchet. Les éditeurs ont parlé de testament.
Les autres romans de Montalbàn, eux, étaient bien vivants.