La mise en vent de l'action Linkedin a prouvé l'enthousiasme des investisseurs pour ce réseau social orienté business, dont les offres d'emplois constituent plus de la moitié de ses revenus. Mais si la société a réussi son introduction en bourse jeudi dernier, une variété de startups basée à San Francisco sont bien décidées à remettre en cause le leadership de Linkendin dans le domaine du recrutement.
Le site web Gild, utilise une approche ludique pour rapprocher employeurs et employés. Une autre startup, Branch Out, utilise un réseau social qui ressemble étrangement à Facebook. Topcash permet aux gens inscrits sur son site de gagner de l'argent grâce à des programmes de parrainages. Enfin, cette semaine, une startup de la Silicon Valley, basée à Burlingame, Jobvite vient de d'annoncer une levée de fonds de 15 millions de dollars.
Pour exprimer cet engouement, Sheeroy Desai, le CEO de Gild, donne son point de vue, alors que son site vient de dépasser les 500 000 membres: "Si vous parlez aux entreprises de San Francisco aujourd'hui, elles vous disent que le principal problème est de trouver la bonne personne. Et d'un autre côté, si le recrutement dans la Silicon Valley est à la hausse depuis le début de l'année, il y a encore beaucoup de gens au chômage. Nous pensons que le processus de recrutement tel qu'il ait effectuée aujourd'hui, n'est pas efficace."
Pour Rick Marini, le CEO de Branch Out, dont la précédente société a été rachetée par Monster, "l'industrie du recrutement a un potentiel énorme. Avec les avancées technologiques actuelles et le potentiel des réseaux sociaux, nous voulons en tirer les bénéfices à Branch Out. Les gens doivent trouver un emploi grâce à nous."
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