Passant sur le tableau de bord du blog je découvre cette info : «Nous avons le plaisir de vous donner rendez-vous le mardi 24 mai pour découvrir votre nouvelle interface d’écriture et de publication d’articles : Wordpress 3.1»… Brrr !
En effet, depuis que ce blog existe – juin 2005, bientôt la 5e bougie, espérant cette fois-ci qu’il n’y aura pas de retard à l’allumage : entendre les bugs et blocages à répétition à pareille époque - chaque changement d’interface s’est accompagné de moult galères. Je perds déjà suffisamment mes cheveux pour n’avoir pas envie de me les arracher
Je ne sais même pas si mon vieil ordinateur sera compa-tible avec ce «progrès» ! Pourtant, il me faudrait attendre encore quelques mois pour être en mesure de le changer, devant sacrifier à d’autres dépenses incontournables.
A partir de lundi 23 mai à midi et jusqu’au mardi 24 à midi, nous ne pourrons donc accéder à nos blogs. Je ne sais si j’aurais suffisamment de temps pour essayer de sortir l’article que je prépare… Je travaille beaucoup mais en arrière-plan. Je suis plus qu’à la bourre, ce qui n’a rien de nouveau. Mais je me débats comme toujours entre la fatigue chronique et les insomnies qui ne le sont pas moins ! La traque des infos bien évidemment impor-tantes en ce moment – nul besoin que je vous fasse un dessin sur le sujet principal ! – me prenant beaucoup de temps.
Principalement la nuit ou dès potron-minet, temps que je partage depuis un peu plus de 15 jours avec le grand remue-ménage de printemps qui n’est pas du luxe et que je mène - dans la journée - quand je ne m’écroule pas dans l’après-midi pour une sieste aussi longue que réparatrice ou ne sacrifie pas à la corvée des courses – faut bien manger, n’est-il pas et miss Tubarao est également de cet avis ! - à mon petit rythme, lentement mais sûrement. De la seule manière dont je sache le faire : récurant, frottant, briquant et astiquant tout dans les moindres détails, y compris et surtout ce qui ne se voit pas. Bien évidemment chronophage en diable et l’idée saugrenue m’est venue hier qu’à y passer tant de temps, qu’à peine aurais-je fini je n’aurais plus qu’à m’y remettre pour la même opération d’automne
Il restera que cet été j’aimerais bien grimper sur le grand escabeau pour lessiver la cuisine à défaut de la pouvoir repeindre (encore que…). Le grand ménage d’automne devrait être plus rapide et j’espère bien pouvoir répondre à la charmante invitation – permanente – de mon amie Suzanne et retourner passer quelques semaines dans l’Hérault en octobre. Cela fera à pareille époque 2 ans que je n’y suis pas allée, le «nerf de la guerre» faisant plus que défaut ! L’étau se desserre à force de serrage drastique de ceinture (je ne suis pas la seule, hein ? à pratiquer ce nouveau sport à la mode sarkoïdale). Pinet, Sète, Agde et Frontignan, l’Etang de Thau et le port de Marseillan ainsi que les longues promenades dans les vignobles du Picpoul me manquent…
A bientôt, mardi ? Wait end see…