Vivre une vie normale reste un défi majeur pour les Afghans ordinaires. Les combats étant généralisés, l’une des principales priorités du CICR consiste toujours à dispenser des soins aux malades et aux blessés.
Les 7 et 8 mai, le siège de la police à Kandahar, la Direction nationale de la sécurité, la résidence du gouverneur et d’autres lieux ont fait l’objet d’attaques. Une équipe du CICR, composée d’expatriés et de collaborateurs locaux, dont un chirurgien, un infirmier du bloc opératoire, un infirmier de salle et un directeur d’hôpital, a soutenu le personnel de l’hôpital régional Mirwais alors qu’il traitait plus de 70 personnes, plus de la moitié d’entre elles blessées par balle et les autres blessées dans des explosions.
Pendant ce temps, le travail au jour le jour s’est poursuivi. Les salles sont pleines et des femmes toujours plus nombreuses accouchent à l’hôpital.(Lire la suite)
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