Ayant été tout ma vie éduquée par des écoles catholiques, j’ai le regret d’annoncer que mon approche de l’Apocalypse en entièrement basée sur la culture populaire.
A l’approche du Jugement Dernier, le paysage deviendra celui de la fin du film Ghost Busters. La musique sera l’Hallelujah de Handel pour les chrétiens sur la route du paradis, et évidemment Placebo pour les païens condamnés à l’enfer. J’espère ne pas être déçue. Retrouvez-moi en pyjama au milieu de la rue (quoi, on doit s’habiller pour l’Apocalypse?), occupée à saisir enfin l’opportunité de réciter le passage d’Ezéchiel rendu populaire par Pulp Fiction:
“J’abattrai alors le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu, et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi s’abattra la vengeance du tout puissant.”
Il est quelque peu violent et vindicatif ce Dieu, il me semble.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble