La vie tient parfois en un objet. Dans une boîte en fer blanc, Juliette Nourredine récoltait, petite, les perles tombées des costumes des danseuses dans les revues où travaillait son musicien de père.
Plus que le brillant, ce trésor symbolise, pour elle, l’amour du spectacle. Elle le restitue aujourd’hui au public, sous forme d’une douzaine de chansons, perles d’humour, de sensibilité, et de musique. Cela donne Bijoux et babioles.
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LES COMMENTAIRES (1)
posté le 27 septembre à 01:02
Je dois déposer mon fiel suite à cette soirée au Muzik'elles.
Photographe journaliste accrédité à tout le festival quel ne fut pas ma surprise d'apprendre que Juliette ne souhaite que la presse écrite à son concert.
Faire 180 kilométres pour voir le spectacle d'une juliette qui pourrait enfin être reconnue du grand public pour que finalement on apprend que celle ci choisit ses supports.
Dommage pour le spectacle, dommage surtout pour l'artiste; que Madame la contesse Juliette adopte des attitude limite fascisante, s'offusquant qu'il y ait tant de journaliste pour elle et les triant comme on fait sa cour.
Mais si on veut qu'un artiste soit reconnu il faut bien parler d'elle, faire en sorte que des belles choses soient publiées... et sans grateux et photographeux, ben, on reste une inconnue, réservée à un public élitiste.
Dommage pour vous Madame la contesse, mais nous ne parlerons pas de vous en bien, quand au images, elles nous sont interdites, vous en serez donc interdites aussi.
Pierre Jean