La Belle de Moscou (Silk Stockings), 1957, de Rouben Mamoulian Avec Fred Astaire, Cyd charisse y exécute quelques-unes des danses les plus parfaites « Ce qui
m'intéressait dans le film était de faire de la danse une véritable expression dramatique. J'avais deux merveilleux danseurs – Astaire et Charisse – et je voulais me servir de la danse pour faire
progresser leur histoire d'amour. Ce qui me passionna fut de donner à la danse une importance plus grande qu'à l'action dramatique proprement dite, qui n'était qu'une reprise de Ninotchka. La
progression dramatique et psychologique n'existait que dans les ballets. C'est en dansant que les personnages prenait conscience de telle ou telle chose, et les ballets n'étaient pas du tout
conçus comme des moments de simple spectacle. » « Sans Fred Astaire, j'aurais refusé de faire le film »