Ils ont écrit dans la revue Nature et explique qu’on arrive parfois à des taux estimé à 160 %, ce qui est selon eux absurde. Selon eux, les prévisions actuelles du taux d’extinction peut surestimer le rôle de la perte d’habitat sur les espèces, même s’ils ajoutent que celle-ci est encore la principale menace pour la biodiversité et les animaux. L’extrapolation de ces taux pour des régions plus petites amènent à des estimations beaucoup plus élevé que réellement observé. Cependant leur étude ne doit pas remettre en cause le travail effectué pour la biodiversité et l’environnement, ils encouragent à continuer. Jean-Christophe Vie, directeur adjoint du programme de l’UICN a peur que cette étude soit mal interprétée et que les acteurs, qui mettent à mal la biodiversité, continuent à la saccager.
Ils ont écrit dans la revue Nature et explique qu’on arrive parfois à des taux estimé à 160 %, ce qui est selon eux absurde. Selon eux, les prévisions actuelles du taux d’extinction peut surestimer le rôle de la perte d’habitat sur les espèces, même s’ils ajoutent que celle-ci est encore la principale menace pour la biodiversité et les animaux. L’extrapolation de ces taux pour des régions plus petites amènent à des estimations beaucoup plus élevé que réellement observé. Cependant leur étude ne doit pas remettre en cause le travail effectué pour la biodiversité et l’environnement, ils encouragent à continuer. Jean-Christophe Vie, directeur adjoint du programme de l’UICN a peur que cette étude soit mal interprétée et que les acteurs, qui mettent à mal la biodiversité, continuent à la saccager.