Voici une affiche ( je ne sais pas si c'est définitive ) du film de Pedro Almodovar, qui a publié son frère et producteur Agustin
Almodovar dans son Facebook. Ce sera le film numéro 18 du réalisateur espagnol, et la rencontre à nouveau avec l'acteur espagnol Antonio Banderas, 20 ans après "
Atame" ( Attache-moi ), accompagné de formidables acteurs tels que Marisa Paredes, Eduard Fernández, Blanca
Suárez, Jan Cornet, et notamment Elena Anaya.
Agustín Almodóvar, hermano del director, productor y habitual cameo en todas sus películas ha publicado en su cuenta de Facebook un teaser poster de 'La piel que habito'. La película número 18 en la carrera del director manchego y la vuelta de Antonio Banderas al mundo de Almodóvar, veinte años después de su última colaboración.
La historia de 'La piel que habito' está inspirada en la novela Tarántula, de Thierry Jonquet. En ella Antonio Banderas interpreta el personaje del Dr.Ledgard, un cirujano plástico, que tras morir su mujer quemada en un accidente de coche, investiga en las posibilidades de la creación de una nueva piel con la que podría haberla salvado. El reparto lo completan, entre otros, Elena Anaya, Marisa Paredes, Roberto Álamo o Jan Cornet.
Tanta expectación ha levantado la nueva película de Pedro Almodóvar que ya se ha filtrado parte del material promocional preparado por la productora: un breve tráiler de 33 segundos en los que se puede ver a Elena Anaya y Antonio Banderas en unas inquietantes imágenes.
Avec son nouveau film, Almodóvar optera pour la Palme d'Or . Le secret sur le film a été dévoilé par ce bref teaser où l'on peut voir une femme en noir, une forte tension entre Banderas et Anaya, et une ménace...
Almodóvar a expliqué que son film est un drame , des fois plutôt ciné noir, d'autres science fiction, d'autres horreur.
Inspiré du roman de Thierry Jonquet, 'La piel que habito' raconte l'histoire du Docteur Ledgard (Banderas), cirurgien plastique qui, à partir de la mort de sa femme, vit avec l'obssession de la recherche d' une nouvelle peau.
Con este papel, Antonio Banderas ha vuelto a ponerse a las órdenes de Álmodóvar veintiún años después de 'Átame', acompañado po un reparto de lujo que incluye a Marisa Paredes, Eduard Fernández, Blanca Suárez o Jan Cornet, además de Elena Anaya.
Voir aussi dans ce blog THIERRY JONQUET: " Mygale" , le roman qui a inspiré " LA PIEL QUE HABITO, d' ALMODOVAR Cannes 2011: LA SELECTION OFFICIELLE
source: Fotogramas
Dans la peau d’une autre
Pedro Almodovar © DRPedro Almodóvar revient à Cannes pour la 5ème fois, dont quatre en Compétition, avec un film noir dérangeant La Piel que Habito, pour lequel il retrouve Antonio Banderas 20 ans après Attache-moi!.
En s’inspirant du roman du français Thierry Jonquet "Mygale" ( lire post ) le réalisateur espagnol s’aventure dans un projet
inédit dans sa filmographie : un récit proche de l’horreur, où violence, vengeance et pulsions malsaines sont les ingrédients d’un style nouveau. Si c’est son premier thriller, proche du film
d’horreur, en tant que réalisateur, il a déjà produit des films de ce genre, comme par exemple ceux de Alex de la Iglesia (Action mutante, 1992) et Guillermo Del Toro (L'Échine du
Diable, 2001).
Depuis plusieurs années, Almodóvar exprimait son envie de retrouver Antonio Banderas. Il dirige donc de nouveau l’acteur, qui incarne Robert Ledgard, un chirurgien
psychopathe retenant en otage une jeune femme censée lui servir de cobaye. Sur elle, il va tester une peau qu'il a lui-même créée. Une invention qui aurait pu sauver son épouse décédée douze ans
plus tôt des suites d'un accident de voiture qui l'avait laissée défigurée.
Antonio Banderas et Pedro Almodóvar collaborent pour la cinquième fois, après une longue pause. Ils ont tourné ensemble Matador (1986), La Loi du
désir (1987), Femmes au bord de la crise de nerfs (1988) et Attache-moi! (1990).
Dans le quotidien El País, Pedro Almodovar a déclaré que ce projet était l'un des plus difficiles de sa carrière et le définit comme "proche du film d'horreur,
jamais encore expérimenté jusque-là, se démarquant des codes du genre, sans cris ni terreur"…