La porte d’Ishtar est le dernier diptyque d’Alain Paris (60 ans) dessiné parSimon Dupuis (36 ans). Les éditions Les Humanoïdes Associés annonçaient depuis plus de 6 mois la sortie du 1er tome. Ils ont finalement retardé la sortie pour enchaîner les deux tomes. Comme pour la collection Dédales, que l’éditeur a semble-t-il abandonné et dont le catalogue serait en vente, il s’agit d’un polar sur fond historique. A Babylone, 900 av. JC, Taliya, une jeune scribe est choisie par la reine Sémiramis pour diriger le service de la Justice Royale. A la fois juge d’instruction et d’application des peines, elle enquête sur un crime, un empoisonnement et un détournement. Si le scénario est historiquement documenté et dans l’ensemble crédible, le dessin trop caricatural et inégal ne m’a pas vraiment séduit. Ce n’est pas l’image que j’avais de la ville aux jardins suspendus. Dommage.
La porte d’Ishtar est le dernier diptyque d’Alain Paris (60 ans) dessiné parSimon Dupuis (36 ans). Les éditions Les Humanoïdes Associés annonçaient depuis plus de 6 mois la sortie du 1er tome. Ils ont finalement retardé la sortie pour enchaîner les deux tomes. Comme pour la collection Dédales, que l’éditeur a semble-t-il abandonné et dont le catalogue serait en vente, il s’agit d’un polar sur fond historique. A Babylone, 900 av. JC, Taliya, une jeune scribe est choisie par la reine Sémiramis pour diriger le service de la Justice Royale. A la fois juge d’instruction et d’application des peines, elle enquête sur un crime, un empoisonnement et un détournement. Si le scénario est historiquement documenté et dans l’ensemble crédible, le dessin trop caricatural et inégal ne m’a pas vraiment séduit. Ce n’est pas l’image que j’avais de la ville aux jardins suspendus. Dommage.