A croire que les malwares destinés à Android ont la cote ces derniers mois. Ainsi, si l’on se fie à un rapport diffusé par Juniper Networks et BullGuard, le nombre de ces malwares a littéralement quadruplé entre les mois de juin 2010 et janvier 2011.
S’il est évident que le fait que la multiplication d’applications sur Android Market est rattaché à ce problème, il semble que le système de diffusion favori de ces malwares soit celui qui tend à se nicher au sein d’une application « repaquetée », et par extension difficilement détectable par l’utilisateur lambda… DroidDream, HongTouTou ou encore Geinimi avaient à l’époque usé de ce stratagème pour infecter différents mobiles. La prudence semblerait donc désormais de mise ?